Mondes Sensibles, une histoire sensorielle de l’œuvre d’art totale

Découvrir des œuvres sous un nouveau regard

Jusqu’au 12 janvier 2025, l’exposition Mondes Sensibles, une histoire sensorielle de l’œuvre d’art totale crée l’événement. Cela, au sein du Musée International de la Parfumerie de Grasse. Elle propose un voyage unique au cœur de la création contemporaine. Comme une immersion dans des univers où les sens sont sollicités de manière exceptionnelle. Depuis sa réouverture, en 2008, l’engagement du lieu envers l’art contemporain n’a cessé de s’intensifier. Il marque ainsi l’histoire du parfum de créations audacieuses et captivantes.

L’art olfactif et les Mondes Sensibles

Ses salles affichent dores et déjà les œuvres de Jean-Michel Othoniel, Christophe Berdaguer et Marie Péjus, Gérard Collin-Thiébaut, Peter Downsbrough, Brigitte Nahon et Dominique Thévenin. Chacun a auparavant travaillé autour de l’univers de la parfumerie. Sur les thèmes de l’éveil des sens, le luxe, le design, le travail du verre et le patrimoine industriel.

Des œuvres qui repensent l’histoire de l’art

Mondes Sensibles musée

Il offre cet été un regard rétrospectif sur l’art total, du début du 20e siècle à nos jours. Des archives, reconstituées olfactivement, invitent les visiteurs à repenser la manière dont l’histoire de l’art s’écrit et se conserve. Et le travail de trois jeunes artistes émergents y contribue. Tiphaine Calmettes, Camille Correas, et Florian Mermin. Ils ont eu carte blanche pour créer des univers particuliers dans leurs espaces dédiés, afin d’aller au-delà d’une simple contemplation artistique.

Solliciter les cinq sens

Mondes Sensibles sculptures

Ceux-ci sollicitent nos cinq sens pour apprécier la démarche arty du musée. Camille Correras présente « L’heure bleue, 2022, grès émaillés, entremet-paysage », une performance hypno-gustative. Étonnantes, les sculptures et installations de Tiphaine Calmettes sont composées de béton, terre, mousse, lichen, empreintes de plantes, d’animaux et de parties de corps. Quant à Florian Mermin, il emprunte à l’esthétique, l’hybride et le fantastique pour établir un contact dialectique entre l’objet et l’humain, le réel et l’imaginaire, l’animé et l’inanimé. Nul doute qu’on ne va pas s’ennuyer dans cette belle ville de Grasse ! museesdegrasse.com

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