1 000 bagues en héritage, à la Galerie Victor Gastou

Quand l'art et l'histoire rejoignent la coquetterie masculine

Le long de la rue Bonaparte, dans le quartier Saint-Germain, la galerie de mobilier et d’arts décoratifs Yves et Victor Gastou est une institution parisienne que l’on ne présente plus. À mi-chemin entre le cabinet de curiosités et le showroom, le lieu est magique. Les objets présentés des années 1940 à 1970 se côtoient. Un univers que l’on doit à Yves Gastou. Ce dernier était reconnu pour ses talents de marchand. Toujours en quête de la perle rare, curieux de chiner au cours de ses voyages et de ses rencontres. C’est aujourd’hui son fils, Victor, qui devient à son tour le galeriste de l’adresse iconique. Et c’est lui aussi, qui nous présente l’autre passion de son père. Une collection de bagues d’hommes qui compte plus de 1 000 pièces. Et que le magazine Allure(S) tient à vous présenter.

Des raretés très convoitées

La galerie s’en fait écrin pour évoquer les splendeurs et les réalités de différentes époques. Ici, la relation des hommes à la coquetterie est dévoilée. Bien plus qu’un élément de parure, le bijou masculin est à la fois un instrument d’affirmation du pouvoir. Mais également un outil de communication et un accessoire de mode. Dans une douzaine de vitrines, les pièces brillent de milieux feux et ne manquent pas d’intriguer.

Victor Gastou, l’héritier bâtisseur

Des bijoux historiques, qui vont des dynasties de l’Égypte ancienne aux bagues des doges vénitiens du 17e siècle, camouflent de petites boîtes à secrretà poison. Mais aussi des bagues du royaume d’Espagne ornées de christs dorés D’autres datant de l’époque du Romantisme Allemand, renfermant les cheveux d’êtres chers, ou encore des bagues d’évêques aux améthystes géantes. Curieux ? Il suffit de pousser les portes pour entrer dans un univers extraordinaire, un rien mystérieux. Là, les légendes et les anecdotes historiques ne manqueront pas de vous émerveiller… galerieyvesgastou.com

Suite Royale, une comédie 5 étoiles avec Elie Semoun, au Théâtre de la Madeleine

Auguste, l’artiste qui sublime le Pop Art

Modelages sculptés poétiques, la signature Corinne Philippe

Sylvie Malys, un show toqué au Théâtre des Mathurins